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André GARDELLA

André GARDELLA, André Antoine GARDELLA, ガルデラ, アンドレ ガルデラ, アンドレ アントワーヌ  ガルデラ,

  Moitié Corse, un quart Français, un quart Japonais et 100% tatamisé. 

 

  Né au Vietnam, élevé en Corse puis à Toulouse, vit aujourd'hui à Nagawa, un petit village au pied des Alpes du Nord, à 200 km à l'ouest de la capitale nippone.

 

  Surnommé "le Dictateur", a passé plus de quarante années à enseigner à une indéfinissable catégorie de fonctionnaires japonais comment dire "non" avec deux propositions affirmatives, un grand sourire et une profonde courbette. A publié une dizaine d'ouvrages aux titres sibyllins tels que: Vie et Opinions de Monsieur Astier, Aux amis ma porte ouverte, Ce qu'elles nous ont dit, Mode communicatif, Diplos, Corpus diplomatique, etc.


  A passé 30 années de sa vie à monter les Alpes japonaises, à les descendre en ski et à les survoler en parapente. Ancien membre du Club Alpin Japonais et du Japan Alpine Photograph Association, il ne cesse de vouloir, à travers la photographie, prouver sa passion pour l'arrière-pays nippon. 

 

  Lis depuis 30 ans toutes les œuvres de science-fiction à la recherche de celle qui surpassera les très " cartésiennes " Chroniques de Thomas Covenant. Partage désormais le reste de son temps entre le désherbage du potager de sa femme et l'étalage de ses capacités physiques en détérioration, de ses facultés intellectuelles en perdition ainsi que de son irrémédiable mais brillante calvitie.

André GARDELLA, André Antoine GARDELLA, ガルデラ, アンドレ ガルデラ, アンドレ アントワーヌ  ガルデラ,

Dans les années 80,

quand il était jeune, grimpeur et beau.

Et Gaulois de la tête au pied.

 

Aujourd'hui,

moins jeune, plus glandeur et encore assez beau. 

A délaissé Gauloises et Gitanes pour Sushi et Saké.

André GARDELLA, André Antoine GARDELLA, ガルデラ, アンドレ ガルデラ, アンドレ アントワーヌ  ガルデラ,

  Quand il était jeune et fort.

 

  Il portait allégrement une charge de 40 kilos faite de charbon, de canettes de bière et d'autres premières nécessités jusqu'aux chalets de Aka Dake Kosen et de Gyoja Goya. Une course de 2 heures répétée jusqu'à 4 fois par jour. De quoi pays le logis et le manger dans ces chalets et se constituer aussi de bons mollets.

 

  Aujourd'hui, il porte tout aussi allégrement une charge personnelle de 80 kilos, faite de chocolats, de pâtisseries et de viandes rôties, indispensables pour conserver ce bien agréable embonpoint devenu sien. Un plaisir répété jusqu'à 4 fois par jour.

  Photo argentique prise dans le massif volcanique de Yatsugatake, lors de la montée vers le col Nakayama Nokkoshi entre Aka Dake Kosen et Gyoja Goya, par une magnifique journée de janvier, dans les années 80.

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